A la découverte des demeures intemporelles de l’Art Déco bruxellois

La semaine passée, je vous avais conseillé, à l’approche des fêtes, d’acquérir le bel ouvrage « Neuhaus, inventeur de la praline belge » de Charlotte Huens et Pacôme Nasier (paru aux Editions Racine). Cette semaine, je poursuis mes recommandations pour vos cadeaux de fin d’année. Et le hasard fait que je retourne chez le même éditeur. N’en tirez aucune conclusion. Toujours est-il que je vous invite à déguster le superbe opus de Cécile Dubois et Sophie Voituron « L’Art Déco à Bruxelles, demeures intemporelles ». Tout à la fois par le texte et par la photo, vous allez pénétrer dans une série de réalisations Art Déco qui ont été préservées et souvent restaurées. Dans ce « cabinet de curiosités », il y a évidemment les incontournables comme la Basilique de Koekelberg, le Résidence Palace, le Palais des Beaux-Arts, la Villa Empain ou la Maison van Buuren. Mais, à côté de ces bâtiments ouverts au public, il y a aussi des maisons privées auxquelles nous n’avons normalement pas accès puisqu’elles sont encore occupées par des familles. Heureusement, Cécile Dubois a l’art de convaincre les propriétaires (ou locataires) d’ouvrir leurs espaces intimes à l’œil de Sophie Voituron. Et parmi toutes ces demeures, j’ai un faible pour la maison de l’architecte Henry Lacoste à Auderghem. Il faut dire que cette résidence appartient toujours aux descendants des occupants initiaux, ce qui est beaucoup plus rare…

> voir la chronique n° 116 rédigée par Paul Grosjean